les bas fonds

Alors que le soir arrive aux portes de la grande mégalopole les petites ruelles sombres des bas quartiers prennent un tout nouvel aspect. Jusqu’alors animées par des petits commerces et autres roulottes en tous genres, tout ces étales laissent maintenant place à des ruelles sinueuses sale et délabré où ne passent alors que quelques personnes perdus ou aux intentions et aux activités plus que douteuses.
Cà et là, aux croisement de deux ruelles, on peut trouver de petits bars quelques fois fortement animé et peuplé de personnages aux allures hétéroclites mais bien souvent seulement une ou deux personnes occupent les bancs crasseux des ces vieilles gargotes délabrées. Les hauts murs de cette cité autrefois débordante de vie ne sont plus alors que les murs d’une sombre prison aux chaînes invisibles tenant captif des hommes sans avenir qui semblent figés dans ce lugubre tableau.

C’est dans ce décor que progresse cet homme ou plutôt cette ombre drapé d’une longue cape noire aux contour changeant laissant apercevoir un gilet de cuire ainsi qu’un pantalon et des bottes de la même matière.

Ces ruelles il les connaît bien pour y avoir passer le plus clair de son enfance cependant après toutes ces années qui l’avaient menées aux quatre coins du monde et encore plus loins. Il n’avait jamais ressentit ce même sentiment de sécurité, d’être chez soit, que lui procuraient ces murs pourtant si sombres.

Il allait ainsi de ruelle en ruelle ou plutôt d’ombre en ombre, quand petit a petit, un sentiment étrange l’envaie. S’imitant dans son esprit, progressivement, pour rapidement devenir une certitude. Il y a ici une présence hostile à son égard.
Cette certitude fut pour lui un supplice. Il ne pouvait supporter que quelqu’un puissent nuire à son petit coin de paradis. En un éclaire les ombres des ruelle se firent plus sombre plus dense. Leur maître gardant son allure fut pris d’une froide aine à l’égard de l’étranger. Il était bien décider à régler ce problème.


D’une façon ou d’une autre.

heureusement pour la fée c'était un soir de pleine lune et en plus, il y avait du vent.

elle mit les mais a sa bouche chuchota et envoya un message a Nightmare par l'intermédiaire d'une petite brise qui vint chatouiller les oreilles de l'ombre
"alors, on commence?"

soudain, une bourrasque de vent dévala la ruelle pour se jeter sur Nightmare.

ce n'est que lorsqu'elle fut a quelques centimètres de lui qu'il comprit que ce n'était pas une bourrasque ordinaire, elle brillait a la lueur de la lune de centaines d'étincelles argentées

avec un sourire sadique, la fée regardait le spectacle tendis que des craquements d'os se faisaient entendre

une fois ses ailes dépliées, elle mordit son doigt et invoqua son phœnix...

Un cours laps de temps s’écoula. Laissant présager que l’attaque surprise de la petite fée avait fonctionné.
La fée, presque déçut par un échange aussi court, fut surprise quand, sans un bruit, elle sentit le froid contact d’une courte lame d’ombre contre sa gorge. Une voix terne s’éleva derrière elle, tandis que la lame exerçait une faible pression sur sa carotide:

« Tu es ici sur mon territoire ici, ne l’oublie pas ! » << Smiley en RP = Pas bien du tout. Recommence pas

A ces mots la lame ainsi que son propriétaire disparurent à nouveau en plongeant dans l’ombre de la frêle créature.

En face de la créature ailée, dans les ombres mouvantes apparurent alors deux Nightmare exactement identiques. On eut dit qu’un miroir était subitement apparu dans la petite ruelle. Chacun d’eux tenait une courte dague, aux formes incurvées, totalement noires dont le fil de la lame semblait indécis et changeait perpétuellement, comme une flamme totalement noire. Les plaques d’armures de la même matière que les lames protégeaient les bras ainsi que le torse des deux ombres. Après un regard on pouvait voir que les plaques d’armures étaient en perpétuelle mouvement, comme constitué d’ombre.

Sans la moindre parole, dans un même mouvement, les deux épéistes prirent une position de combat, une main en avant,protégée par un mince gantelet tout aussi noir que le reste de son armure, alors que la seconde tient la dague à la façon d’un kunai. Ils s’élancèrent en direction de leur ennemie afin de lui asséner deux coups de dagues horizontaux.

Elle attendit que les lames soient presque au contact avec sa peau puis disparut en une petite brise tandis qu' Ankaraa voletait entre les ruelles
D'un coup deux mains sortirent de nulle part devant le visage des deux clones

et PAF une bonne tarte chacun

"pff t'es lourd"

elle fit mine de partir alors qu'Ankaraa se préparait a lancer son attaque de boules de feu

Nightmare encore étonné de la baffe qu'il avait reçu en pleine face ne faisait pas attention au phoenix